L’Homme qui peignait les âmes

Le voyage initiatique d’un jeune pêcheur passionné d’iconographie, à travers un récit contre l’intolérance et une célébration de la beauté.

Acre, quartier juif, 1078. Avner, quatorze ans, pêche avec son père. À l’occasion d’une livraison à un monastère, son regard tombe sur une icône. C’est l’éblouissement. Bien qu’il n’ait pas la foi, le jeune homme se fait baptiser, quitte les siens, et deviendra l’un des plus grands iconographes de Palestine.
Peu à peu, Avner s’affranchit des canons rigides de l’Église et reproduit des visages de gens ordinaires, cherchant dans chaque être sa part de divin. C’est un triomphe, c’est un scandale. Il est chassé, son œuvre est brûlée. Quel sera le destin d’un homme qui a osé défier l’ordre établi ?

« C’est l’histoire de la liberté, de la beauté et de la foi. Son conteur est Metin Arditi, qui aime aller chercher dans les souterrains du passé des enseignements pour aujourd’hui. » Le Figaro

Écrivain francophone d’origine turque, Metin Arditi est l’auteur de nombreux essais et romans maintes fois récompensés. La Confrérie des moines volants, Juliette dans son bain, L’enfant qui mesurait le monde, Mon père sur mes épaules et Carnaval noir sont disponibles chez Points.